Quand le silence
s'étend par tout, je sens qu'est l’écho de mes rêves qui fait
pour remplir, par le tout, l'absence du bruit.
C'est comme l'eau qui
tombe, doucement, tellement les plumes des oiseaux tous lesquels
les dieux plument pour faire un festin*, là-haut, les hautes montagnes l'attraperont, Elle n'arrivera pas dans le val. Là-haut elle sera entassée, pour cuisiner avec, en le
froid, un énorme millefeuille.
Cette millefeuille à qui
la chaleur du désir fera fondre, descendant lui donc bruyamment par
les flancs des montagnes… jusqu'à inonder le val.
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