Imaginez-vous
que la légende de ce dieu qui a fait le monde, lui tout seul, soit vraie ; et si les vrais, ils sont beaucoup, laissons-les tous en un, à la
fin tous sont autant du même.
Ce
dieu qui depuis d'avoir fait le monde —tel
que
la légende dit ;
et
à partir de maintenant, mettez-vous les temps verbaux que vous croyez
opportuns-
il s'est
fait reposer (vu
le vu, ce serait la tête)
pour après d'avoir bien dormi la cuite qu'il ait prise
avant d'y faire, sinon il ne s'explique pas tel bâclage,
en se réveillant,
ce qu'il, peut-être,
ne
voudrait jamais faire, et
si bien cela
le passe souvent à n'importe quel mortel, lequel
peut-il choisir, mais
lui, qui n'est pas non
plus « un » dieu, lui, le pauvre, est « le » dieu !
À
lui,
il
ne resta
d'autre
que de
s'éveiller.
Donc, une fois assis sur le lit, soutenant sa tête baissée
de sa main, jusqu'à une fois passé un temps perdu, tant
qu'il ne voudrait pas trouver. Il se leva
d'un coup, dérouillant
les jambes tellement qu'elles fussent un ressort et prolongeant
l'exercice en allongeant les bras aussi que les doigts aux mains
ouvertes pour
se faire équilibrer.
Dieu
debout, progressivement, lentement, il s'approcha de la porte de la chambre qui empêchait de renter toute la fureur du brouhaha extérieur. Dieu regarda
par
le
trou de la serrure
pour
savoir qu'est-ce que se passe par là ?
… Mon Dieu! exclame-t-il, si c'est le monde que j'en ai
fait,
que le démon s'apitoie de moi.
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