mercredi 17 avril 2013

QU'IL Y VIENT LE LOUP

    Nous, les humains, avons l'habitude de pour signaler un méchant y parmi, faire allusion (par exemple) au loup, aussi comme pour signaler une bonne personne l'en faire d'un mouton ; pourtant, le loup doit autant chasser comme se défendre, surtout de nous, de soi-même, tandis que le mouton, qui paître bucoliquement de la vie, végétale, celle-ci qui ne laisse pas de l'en être, et à la vie portant tant de fils comme il peut, pour entretenir prédateurs tel que le loup, pour sauver la sienne après, celle-là de quelqu’un de ses fils, une fois avoir sauvé la sienne. 
 
   
    Alors ! Pour ne pas faire moi d'innovations, je ferai de l'usage traditionnel dans cette petite mis en scène, voilà : il s'agit d'un loup, qui chaque fois qu'il montrât sa gueule, on lui offrait du gâteau, le loup à chaque intention, il goûtait la friandise pour faire des compliments, même en considérant que le plus qu'omnivore carnassier, c'est de la chair de ce qu'il avait besoin. Le si gentil que reconnaissant loup, assez de tant apéritif recevoir, ce qui ne faisait qu'agrandir sa faim, le jour est arrivé, qu'ayant impérieux besoin de manger comme il faut, pour apaiser le rugir de son estomac, à faute d'autre chose, il mange la main de la stupide qui lui donnait des gâteaux…
  
   
    Ce qui veut dire, messieurs les politiciens, qu'en étant nous au XXI siècle, on ne peut pas se permettre, ni parler, ni moins négocier avec les inquisiteurs, ni beaucoup moins dans une République, laïque comme ne peut pas être d'autres manières, parce qu'ils prendront des ailes, lesquelles à plus grands plus difficiles de couper ; en autre il faut ne pas laisser de mettre la civilisation au jour. Nous sommes trop de monde comme pour faire quelques-uns du dogme l’empire de la sans raison !

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