Nous,
les humains, avons l'habitude de pour signaler un méchant y parmi,
faire allusion (par exemple) au loup, aussi comme pour signaler une
bonne personne l'en faire d'un mouton ; pourtant, le loup doit autant
chasser comme se défendre, surtout de nous, de soi-même, tandis que
le mouton, qui paître bucoliquement de la vie, végétale, celle-ci
qui ne laisse pas de l'en être, et à la vie portant tant de fils
comme il peut, pour entretenir prédateurs tel que le loup, pour
sauver la sienne après, celle-là de quelqu’un de ses fils,
une fois avoir sauvé la sienne.
Alors ! Pour ne pas faire moi d'innovations, je ferai de l'usage traditionnel dans cette petite mis en scène, voilà : il s'agit d'un loup, qui chaque fois qu'il montrât sa gueule, on lui offrait du gâteau, le loup à chaque intention, il goûtait la friandise pour faire des compliments, même en considérant que le plus qu'omnivore carnassier, c'est de la chair de ce qu'il avait besoin. Le si gentil que reconnaissant loup, assez de tant apéritif recevoir, ce qui ne faisait qu'agrandir sa faim, le jour est arrivé, qu'ayant impérieux besoin de manger comme il faut, pour apaiser le rugir de son estomac, à faute d'autre chose, il mange la main de la stupide qui lui donnait des gâteaux…
Ce
qui veut dire, messieurs les politiciens, qu'en étant nous au XXI
siècle, on ne peut pas se permettre, ni parler, ni moins négocier
avec les inquisiteurs, ni beaucoup moins dans une République, laïque
comme ne peut pas être d'autres manières, parce qu'ils
prendront des ailes, lesquelles à plus grands plus difficiles de couper ; en autre il faut ne pas laisser de mettre la civilisation au
jour. Nous sommes trop de monde comme pour faire quelques-uns du
dogme l’empire de la sans raison !
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