Ou
bien Éole s'est rendu amoureux d'une bouteille, d'où d'aspirer
d'elle, il souffle de si tourbillonnante façon que les vents
mélangent tout, ou bien peut-être soit que l’imbécillité ait
pris corps de pandémie, en conséquence de la pourriture de l'air
qui s'est stagné. Qu'il soit l'excès ou le défaut du vent, la
question est qu'il n'y a aucun cerveau, toujours qu'il fonctionne même
sous minimums, qui soit capable de digérer des conneries telles
qu'actuellement, les seuls à se faire écouter mettent à table.
Les politiciens à faute de honte, se mettent à dire qu'il faut moraliser la politique… ? y parmi s'en faisant maîtres moralisateurs les immoraux qui ont tout pourri, desquels ont tout apprit lesquels se font appeler de gauche, auparavant dites classe ouvrière, dénomination qui aujourd'hui est absolument désuète ; ils sont maintenant "de la classe politique" les seuls qui aient le droit de se faire écouter de leur dadaïsme. Pour le peuple qui ose parler… ces subversifs ! Les patrons des mots ont de leurs asservis, des matons recrutés parmi les opprimés, pour les faire se taire.
Messieurs
les politiciens, ne moralisez pas la politique, ce qu'il faut,
n'est d'autre qu'être honnêtes, ce qui ne se peut pas atteindre, en faisant du politique métier… allez-vous chier, professionnels
de la misère des autres ; vous qui ne laissez la vache faire, ni faire vous la vache, elles ne sont pas coupables de vos escroqueries et
laissez-vous s'il vous plaît, nous casser les pieds prétendant nous faire croire ce de vendre des pommes au pommier !
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