J'ai
deux amis par la Galice, cette belle d'Europe qui n'a reçu dès
toujours visiteurs d'autres qu'envahisseurs en règle, en allant, elle,
pour tout recours à se venger des maudits, cela de faire piqûres
dans le cul de l'Atlantique, pour provoquer que ses eaux enragés
fassent désagréables les séjours des perfides.
Alors ! Amis que sont les sujets, Mini et Mero ils s’appellent,
poètes-chanteurs tous les deux, revendicateurs de vérités
auxquelles ils ne donnent jamais par perdues… une soirée en
causant moi avec. Ils m'ont offert de lire l'un de leurs poèmes
destinés à musiquer, lequel racontait que nous, les humains, avons beaucoup de plantes.
Le
susdit poème m'a fait réfléchir moi (je ne saurais pas dire si le
beaucoup que nous avons de plantes, mais réfléchir quand même) si est-ce que les politiciens de métier, les tricheurs de la justice
ou les spéculateurs de la sueur des créateurs de la richesse, dont ces
satrapes se baignent… toute cette sous-espèce sont-ils, tel que,
le reste des mortels, soit humains, puisqu'en tirant de la
similitude, dont les plantes deviennent vertes de l'effet qui, en elles font la chlorophylle, cause de la susceptibilité à n'importe quelle altération, comme aussi se passe dans les humains, en étant
celle-là en nous provoquant par l'hémoglobine, pourtant en cette
sous-espèce il n'a rien ni personne qui altère son insensible peau.
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