vendredi 12 avril 2013

DEUX AMIS À MOI, POÈTES-CHANTEURS

     J'ai deux amis par la Galice, cette belle d'Europe qui n'a reçu dès toujours visiteurs d'autres qu'envahisseurs en règle, en allant, elle, pour tout recours à se venger des maudits, cela de faire piqûres dans le cul de l'Atlantique, pour provoquer que ses eaux enragés fassent désagréables les séjours des perfides.
 
   
    Alors ! Amis que sont les sujets, Mini et Mero ils s’appellent, poètes-chanteurs tous les deux, revendicateurs de vérités auxquelles ils ne donnent jamais par perdues… une soirée en causant moi avec. Ils m'ont offert de lire l'un de leurs poèmes destinés à musiquer, lequel racontait que nous, les humains, avons beaucoup de plantes. 
 
   
    Le susdit poème m'a fait réfléchir moi (je ne saurais pas dire si le beaucoup que nous avons de plantes, mais réfléchir quand même) si est-ce que les politiciens de métier, les tricheurs de la justice ou les spéculateurs de la sueur des créateurs de la richesse, dont ces satrapes se baignent… toute cette sous-espèce sont-ils, tel que, le reste des mortels, soit humains, puisqu'en tirant de la similitude, dont les plantes deviennent vertes de l'effet qui, en elles font la chlorophylle, cause de la susceptibilité à n'importe quelle altération, comme aussi se passe dans les humains, en étant celle-là en nous provoquant par l'hémoglobine, pourtant en cette sous-espèce il n'a rien ni personne qui altère son insensible peau.

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