Un jour, l’ennui s'est mis à me raconter : La crise, ce lémure d'un temps passé, pas trop lointain, hante partout, et si bien, il est : inodore, incolore et insipide, même sans avoir les sens du vin, il se laisse sentir parmi nous, nous forçant, de quelque sorte, à prendre le goût à la gentillesse, aussi que de bonnes manières, d'où, on prend parfois de la courtoisie, aussi proche d'être d'un gommeux dégoûtante, qui la fait devenir énervante ; curieusement sans que personne s'énerve, d’entretenir son exercice.
— Oh ! Excusez-moi — dit quelqu’un qui interrompt le pas.
— Ça n'est rien, monsieur
— Madame, monsieur, on leur cède le pas.
— Après vous Monsieur.
— D'aucune façon.
— Je vous en prie.
— J'insiste…
... Cela qui se peut éterniser autant qu'il faut, sans que personne s’altère, sans que personne laisse sortir de soi, la minime nuance de violente, ni de dégoût, qui accéléraient les événements, d'où dériverait une augmentation proportionnelle à celle-là, des dépenses que l'on est en train de ralentir ; l’hypocrisie est un gros tirelire…
Tiens ! Il se dit lui-même ; le voilà : (passant au discours) regarde-toi, par où me vient, de cette histoire « cause effet » l'un de mes souvenirs de jeunesse, dont l'un parmi des copains, qui préparait son métier, de metteur en scène de nombres, à cette époque-là, il s'était armé pour se battre contre le temps, d'un cyclomoteur, sur lequel il circulait à toute la vitesse que l'engin le permettait. Le futur mathématicien, en répondant une fois à la demande de quelqu'un de son opinion de la vie dès le point de vue du motorisé, répond volontiers : accumulation. Tu sais ce que je veux dire, magnifique accumulation, à plus vitesse que je vais, plus de filles qu'il y en a. Donc, l'ennui s'en va.
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