Là par le crétacé, peut-être, l'origine étymologique du mot crétin fit à cause d'un gros tyrannosaure, qui semblant se promener, faisait de la percussion, répondant à chaque coup de son pied droit sur terre, laquelle il prenait par un tambour, d'un autre le gauche, en accompagnant les sons bas, des cris aigus qu'il faisait parfois pour rompre la monotonie ; c'est tandis qu'il faisait l'une de ces fioritures, que d'un des simagrées faites avec ses pattes antérieures pour se compasser, que le plumier qu'il tenait à sa droite, s'envole, allant tomber dans une espèce de petit lac de sables mouvants ; l’ovipare, sans douter un instant, il se met là à sa recherche : malheureusement pour l'avenir, il laisse veuve, dont, ici le grave, un œuf en état de gestation, d'où, qu'à travers les temps quelques traces pousseront sur le singe Simon.
Entre cette époque-là et à présent ; dans des jours en arrière, quelque peu de millions d'années, Simon, porteur de ces quelques traces du génial, oublié, et peu habile musicien, étant lui en train de fabriquer l'humain, fait-il de l’ingénierie avec le feu ; sa compagne méfiant des prodiges de son partenaire. Elle avait abandonné le lieu, le plus loin possible, malheureusement pour l'avenir de la vie à nouveau. Une nouvelle innocente porteuse en état de gestation transmettait-elle les traces d'un autre prodigieux.
Simon, ce génie héritier d'un autre, réussit en son entreprise, malgré cela, il n'en va recevoir par honneurs que les malédictions de tous les morts, lui y parmi, aussi que des survivants de l'incendie propagé en quelques kilomètres autour de son origine.
… et voilà nous : les héritiers !
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