Les temps font tout changer. Sans aller plus loin, les fantômes
d'aujourd'hui ne sont ce qu'ils ont été ; auparavant ils étaient
des méchants, qui comme y correspond ne faisaient que méchancetés.
Ces derniers jours, on se parle, trop à mon avis, d'un d'eux, qui enveloppé en habits blancs, tellement se montraient les fantômes des contes d'enfants, auquel je ne sais pas qui, ni pourquoi non seulement l'a permis se promener par le Parlement Européen (ni que celui-ci fût l’opéra) sinon qu'on l'a laissé se manifester dans son contexte fantasmagorique, instant il, aux élus par le peuple, à être de bonnes gens avec les pauvres, auxquels ses coreligionnaires, aussi comme spéculateurs de toutes sortes, ont provoqué leur état de pauvreté.
Vraiment, je ne sais pas si ce que ce fantôme entend pour bonne
personne est enculé, de fait, chérubins. Ce que métaphorisent-ils, ou l'en font, métaphoriquement, sur ceux-là qu'ils
ont appauvri.
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