Personne n'en doute que les humains sommes des animaux curieux ; nous, qui faisons
tout pour courir plus que le temps, sans vouloir comprendre
qu'il ne bouge pas, le temps n'est qu'un concept abstrait que nous
avons tiré, de notre ne pas moins curieuse que nous nos perceptions, de
notre propre vieillissement.
Nous vieillissons et en arrivant à vieux, durant le
processus entre naître et mourir, après nous dilater (ou quelque
chose comme ça), nous nous oxydons, ce qui nous mène à la
transformation, dont les cellules qui nous ont supporté en vie, la
nôtre, assez de passer tant de calamités chez nous, passent-elles à
mieux vie.
La nôtre, personne l'en doute non plus. Y durant, la vitesse, même
qu'elle soit subjective, nous empêche de nous regarder entre nous, et
moins de l'en partager. C'est, malheureusement, à l'heure de la
vieillesse, dont chacun est en train de dire adieu à tout, à tous,
quand nous voulons nous faire connaître.
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