Croyant
le loup Ernest du bien vivre des chiens chez les bipèdes sans
plumes, il s'est décidé de faire de l'apprentissage pour se faire
passer par l'un d'eux, si bien, il n'était pas convaincu du tout,
pas non seulement de cela d'avoir patron, sinon qu'en plus celui-ci fût, impérieusement, une de ces fragiles bêtes, pseudo-animaux,
si sottes que cruelles.
Ernest, sans laisser d'être méfiant, s'est décidé de voir ce que se passe dans cette vie-là qu'il prétendait mener, et comme l'orée
du bois dont il habitait, touchait une ferme des humains, il se met
à guetter depuis ses yeux peuvent l'atteindre pour observer leur chien.
D'abord,
ce qui étonne Ernest est que le chien, en étant bien servi, jour le
jour, son assiette, il mendie quelques miettes par ici par là…
misérable ! Ne l'étonne pas moins, qu'il aboie au rythme de sa
queue pour plaire son patron, comme qu'il l'en fasse à tout lequel
s'approche à la ferme, pour que celui-là, qui se sentant défendu,
remercie son geste, parfois, avec quelques soigneuses coups dans sa
tête… minable ! Bien qu'en plus il doive surveiller les
animaux autres de la ferme pour tout faire, la chose peut marcher. La vie de chien est commode. Pour cela qu’Ernest ne passe
point, c'était que les filles du patron le baignassent les
dimanches, pour après le mettre un ridicule lacet au cou…
qu'est-ce qui penseraient ses anciens camarades s'ils le vissent de
cette guise ?
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