Certaines graminées
vivent y parmi, dans un ensemble si épais, que leurs épis doivent
se hausser, de leurs tiges, pour bien respirer ; celles-ci, dont
celles-là sachant de leur impuissance contre le vent, se sont faits
flexibles pour ne pas casser au pas du souffle d’Éole, pour
reprendre son aptitude après.
Pourtant l'homme lâche
se laisse faire des plus opprobres vilenies ; venues,
des puissants pour pousser au-dessus de ses égaux ; ce qui l’amène
à s'étouffer autant parmi les uns pour ne pas pouvoir tirer la
langue, comme parmi les autres pour ne pas la pouvoir mettre à sa
place.
En géométrie, les
épis sachant que (on voit que les graminées sont savantes) une
bonne part de leurs grains seront irrémédiablement mangés par les
vivants mobiles, elles se font prodigues d'eux, pour s'assurer leur
reproduction. Les lâches se reproduisent, eux aussi,
généreusement, même que personne les mange, mais pour engraisser
chair d'esclavage ; ce qui fera disparaître l'homme libre… on voit
que ceux-ci en plus d’ignorants sont des casse-pieds.
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