Marie-Anastasie, surnommée « Marie-Anesthésia » à cause de son esprit ; dû, que même en considérant était une douce femme en le concernant aux affaires de l'amour, la douce n'aimait point : ni les hommes, ni les chats (ni chattes) ni les fleurs, ni, pour ne pas aimer, elle n'aimait non plus la vie. Tel manque d'affection qu'avait fait à Marie-Bis de se garder dans un flacon, dont elle avait hermétiquement fermé.
Dommage que tant de beauté s'oxyde, sans avoir parfumé la vie, sans jouer son odeur avec celui des fleurs, sans avoir caressé des chats (les chattes n'ont pas besoin, elles sont caressées par les chats) sans avoir fait plaisir même qu'il en soit un seul homme, qu'il glisse le bout de ses doigts par ses joues, respirer, son nez collé à son cou… le lui faire l'a Bis senti des instants un dieu ! — Pas trop, soit que l'on devienne un autre monothéisme.
… Quel mortel,
l'amour-propre blessé et l'amour à la belle, qui est dans le flacon enfermé, ne subira pas du désir
incontrôlable de prendre le morceau de verre creux d'entre ses
mains, pour le presser jusqu'à le crever, pour que Marie-Anesthésia
devienne la Marie-Anastasie, ce que jamais a dû laisser d'être ; pas
précisément pour caresser les chats… que les caressent les chattes !
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