Un aigle, impériale, en voyant tout depuis les hauteurs, voyait
tout, petit, jusqu'au terrain qu’elle convoitait, par là-bas où elle-même ne se posait jamais. Pourtant, elle s'est voulue faire un
ennemi par terre choisissant à cet effet un puisant lion qu'y vivait
tranquillement, forniquant et se reposant pendant la sieste, il laissait tout
faire à leur plaisir les lionnes fainéantes, mais généreuses !
Cette aigle-là pour faire honneur à son nom, cherche parmi les
animaux sur terre, quelqu'un soit prêt, sous son commandement, à
soumettre le lion, n'en trouvant autre chose qu'un troupeau de
moutons, ceux-ci qui encouragés par l'ailée les a fait croire que
le volume de leurs poils frisés les apportent la force y
correspondante (pauvres "Sansons") aussi bien que leur myopie les faisait voir
petits à tous les autres, que pour comble des malheurs les cocus sont maniés par
une brebis laquelle n'avait pas besoin de la laine pour être grosse.
L'aigle, impériale, qui si bien n'est trop intelligent n'est non
plus sotte du tout, pour protéger ses vassaux fait fabriquer une
cage pour garder le lion ; mais telle embrouille ont fait elle et ses
acolytes que la cage est devenue la leur propre. Je n'ai jamais vu un
lion rire de telle manière… soit, ils veuillent le tuer de
rire ?
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