Ce qui s'est passé ce jour-là dans la vieille maison familiale, qui
avant d'être dévorée par le béton tel qu'il est venu l'en faisant
de tout le quartier, dont elle était la plus grande, ce qu’en étant
moi un tout petit gosse, se faisait immense considérant la
proportion. Ces événements-là qui d'avoir survécu moi tout seul y
parmi lesquels étaient et compte tenu que j'aurais de la persuasion
des ecclésiastiques. J'aurais peut-être fabriqué un mythe.
Tout s'est passé une soirée, sombre, y durant les ombres, entre
lesquelles je passais inaperçu, transitaient les couloirs de la
vieille maison. Par là le seul qui brillait, j'en suppose, ils étaient
mes yeux fort ouverts. À ce moment même, il me vient le pourquoi je
les en ai eu pour toujours tellement les ombres : obscurs. Ce jour-là
j'ai dû de finir épuisé de tant les ouvrir, ce qu'en autre s'est
étendu sur moi pour me faire devenir, pour le dire de quelque
manière, personne peu travailleuse.
Les souvenirs se succédaient, j'ai donc baissé au rez-de-chaussé, probablement pour m'enfuir des ombres. Cependant, là-bas il y avait plus, ombres qui parlaient à baisse voix, qui riaient aux éclats. Je
monte tout de suite par où j'avais descendu et surpassant le
premier étage, les escaliers se faisaient tourner, à quelques
marches, dans un palier un arbre à petites fleurs était illuminé
par une lucarne de la taille de la cage de celles-là. Une fois dans
le second étage, dans la sombre de la mansarde il n'y avait pas
d'ombres ; là le toit, au centre, était plus haut que dans le reste
de la maison, mais où déclinait, il ne l’en était plus haut
que moi… Depuis là, une fenêtre face où j'étais, elle laissait entrer les derniers rayons du soleil auxquels relayaient les de la
lune…
Voici comment j'ai entendu que mon chéri aïeul avait mort !
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