Quand le réveiller
n'est qu'une prolongation du non-dormir, c'est tellement qu'être
dans les limbes d'une inexistence existante.
Dans le corps mélassé,
qui fait corps avec le visqueux lit dont il se repose, reste
prisonnier l'esprit de l'être ; de l'un de l'autre.
Au fur et à mesure qu'ils perdent viscosité : le lit, le corps ; s'éveille l'esprit, le corps bouge, l'un l'autre faisant un tout, on prend vie.
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