En étant Saturne, qui de nom de famille Parterre que non la planète ni, le dieu, dans le parc Georges Brassens sur un banc public assis à regarder les feuilles tomber, ce qu'à l’être l’automne pour beaucoup qu'il y regardait cela ne dissipait l'image que l'inquiétait : un monde débordant de zombies intellectuels ; jusqu'à tout juste étaient les 14 h, 25' il se dit à soi-même : ho !
Immédiatement, sans s’arrêter un instant à réfléchir plus, assez d'être homme, il décide de se faire dieu ; mais pas un dieu quelconque, qu'il fût méchant, ou qu'il fût bon ; il voulait être un dieu enragé. Saturne Parterre n’aimait point conneries d'adeptes qui prient, soit pour amour, soit pour peur… je ne suis pas, il se dit à soi-même (il, au ne pas avoir à qui parler, se parlait toujours à soi-même) ni sadique, ni masochiste non plus.
Vraiment, il refusait d'être dieu pour cela de l'immortalité (quelque chose que n'importe quel mortel pourrait penser) sinon pour ne pas fréquenter les personnes. Le pauvre dieu, Saturne, n'a pas su prévoir l’incommensurable sottise de ses congénères, parce que, adeptes, avoir, il a eu beaucoup plus qu'aucun dieu ne pourrait avoir imaginé.
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