L'homme parfois s'allonge, parfois s'assied*, mais il, pour « être » doit se tenir débout jamais se mettre à genoux.
*Il n'est pas indispensable de l'en faire sur une moto ni qu'il en soit pour s'en aller aux putes.
L'humanité a toujours été penchante à fabriquer « l’être » pour ne pas « être » chacun y parmi, voilà notre fausse puissance, puisqu'elle est dans l'imaginaire, dangereuse option, dont l'imaginaire est manié par quelques-uns qui n'ont rien d'imaginaire.
Les hommes prosternés ne sont que masse malléable… pauvre humanité ! qui n'est qu'une miche de cette masse façonnée de laquelle mangent les insatiables*.
*Auxquels ni même le casque ne les empêche pas avaler.
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