Quand
Philibert était arrivé à jeune homme, il était essence des polies manières
dont il fut élevé, celles-ci qui se montraient sur l’apparence de
douce harmonie, mais autant rigides comme absurdement compliquées,
ce qui faisait contraster avec la schématique, plus qu'amer,
despotique, relation, que les appartenant à son entourage avaient
avec lesquels de leur travail, ils faisaient possible la pratique de
cet apparat de douce harmonie aux rigides, absurdes et compliqués,
manières, qu'ils entendaient par si délicates que distinguées.
Un
type qui s'est élevé dans un ambiant comme ça, il ne lui reste
qu'être nécessairement, pour le dire de quelque façon, un gommeux
impénitent, puisque ce qui tient tout cela qu'y se passe, par force,
pour normal, il n'est pas pour auxquels sont hors de là, que cela
soit tout simplement anormal.
Il
ne se peut pas apercevoir comme bizarre, que Philibert soit un
bizarre type, et même tout le gommeux qui vous voulez. Philibert,
par exemple, ne pissait pas, il faisait des mictions ; ce qui était plus délicat. Il ne faudra dire : que de chier, ni lui, ni
chez-lui, personne ne parle… quelle honte ! Là où Philibert n'a
jamais vu manger sa mère, ni même mise à table. C'est pour cela qu'il
était sûr qu'elle ne passait pas par tel encombrant processus, manquerait plus que ça. De fait,
une tante à lui "fierté de la famille" morte avant qu'il fût née, à cause de pour ne pas se faire honte, s'être elle quitte de manger…
Pauvre Philibert ! qu'il n'a pas pu arriver à tel degré de sainteté. On vient de l'ensevelir : il est mort d'une galopante diarrhée.
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