En
m'offrant moi-même en cadeau une visite, plus que
brève foudroyante, à Bordeaux, une fois-là, me trouvant moi dans
un bar, en étant boiteux, je ne peux pas me promener. C'est pour ça
qu'il soit dans ce type d'établissements, où je trouve le monde, et
comme c'est le cas, cette fois la partie de monde était une jeune amie avec laquelle le rencontre a été plus
foudroyant que la visite à la ville.
Cette jeune femme, dont sa jeunesse ne me fais pas autant jeune moi, avec qui, avant les derniers présidentiels, j'avais discuté sur les pas douteuses qualités à mon avis de celui-là, qui plus qu'arriver en, il a gagné les susdites. À qui, la non pas moins douteuse en tant que jeune, défendait-elle sans en douter, disciplinairement, le candidat face moi, de façon qu'elle fît sembler que j'étais un casse-pieds « des » droites : droites, il y a par tout, ce qui imite « la » gauche, à différence qu'elles ont toujours le même et unique patron.
Je ne voudrais pas de manière aucun être de ce pari gagnant, mais ce n'est pas le hasard, il a été le temps qui a parlé. Eh bien, rencontre faite, bises de rigueur. Donc ma « jeune » amie en voyant en moi, peut-être, un sournois sourire, elle, sans me laisser moi tirer de la bouche l'arme, se dépêche m'embraser à nouveau, à façon d’adieux, pour tout de suite, en justifiant d'être pressée,
s'en aller. Ni jamais de ma vie une femme m'a embrassé deux fois en
tant bref espace de temps, ni jamais j'ai vu personne qu'entre dans
un bar sans rien boire.
Le Prix Nobel d'économie 2008 rappelle ainsi qu’il ne s’était pas attardé sur le cas français depuis qu’il était devenu clair que François Hollande «n’allait pas rompre avec l’orthodoxie des politiques d’austérité destructives à l’œuvre en Europe» qui conduisent pourtant «à des résultats désastreux» depuis quatre ans. Mais les derniers choix présidentiels représentent selon lui quelque chose de «scandaleux»: embrasser «des politiques économiques de droite pourtant discréditées». «Oui, des conservateurs sans cœur et butés ont mené la politique, mais ce sont des politiciens de la gauche modérée, mous et brouillons qui les ont encouragés et leur ont facilité la tâche», torpille Krugman.
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