mardi 7 janvier 2014

NE VOUS FAITES PAS COMMUNIER AVEC QUENELLES

    Jamais le fascisme s'est caractérisé pour le sens de l'humeur. Cet ennuyeux fantôme qui hante par tout, toujours aux aguets, pour prendre pièce de tout esprit libre que se fait mettre dans son atteinte. Ce fantôme qui prend de la force depuis qu'il fut bercé pour n'importe quelle église, à leurs profits, dont il fut élevé, pour après être placé, préférablement, là où la corrosion peut faire plus dégâts, soit dans la moderne classe politique. Tout le reste était déjà il y a longtemps sous contrôle.
 
     
    Ne faites-vous cas de l'image uni-coloriste qui nous ont fait croire le fascisme y a, puisqu'il est incolore, ce qui l'en fait tellement maniable, à se dissimuler, en vue de s’imprégner dans n'importe quoi. Pourtant, ce que cette peste ne peut pas faire dissimuler, c'est la faute absolue du sens de l'humeur, celui-ci qui ses adeptes en le prétendant faire, ils ne font que quelque chose de fort mauvais goût, que parfois de faire sentir l'humeur, une personne normale est touchée de la honte d’être humaine elle aussi.
 
   
    Ces adeptes, dont on excelle, si l'on excelle, on peut dire, la banalité, la misère intellectuelle, l'absurde, du non absurde, de la médiocrité, qui se placent dans le pouvoir politique, soit de la couleur qu'elle en soit, pour se justifier d'y être sous le désir explicite, fait du peuple qui les a élus… charognards !, mais n'oublions pas nous, que nous tous, sommes coupables que ces sangsues éteignent dans la place de bourreaux, cause de ne pas réfléchir chacun de soi, en laissant y faire par nous à nos propres esclavagistes.

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