Jamais
le fascisme s'est caractérisé pour le sens de l'humeur. Cet
ennuyeux fantôme qui hante par tout, toujours aux aguets, pour
prendre pièce de tout esprit libre que se fait mettre dans son
atteinte. Ce fantôme qui prend de la force depuis qu'il fut bercé
pour n'importe quelle église, à leurs profits, dont il fut élevé,
pour après être placé, préférablement, là où la corrosion peut
faire plus dégâts, soit dans la moderne classe politique. Tout
le reste était déjà il y a longtemps sous contrôle.
Ne
faites-vous cas de l'image uni-coloriste qui nous ont fait croire le
fascisme y a, puisqu'il est incolore, ce qui l'en fait tellement
maniable, à se dissimuler, en vue de s’imprégner dans n'importe quoi. Pourtant, ce que cette peste ne peut pas faire dissimuler, c'est la
faute absolue du sens de l'humeur, celui-ci qui ses adeptes en le prétendant faire, ils ne font que quelque chose de fort mauvais goût, que parfois de faire sentir l'humeur, une personne normale est
touchée de la honte d’être humaine elle aussi.
Ces
adeptes, dont on excelle, si l'on excelle, on peut dire, la banalité, la
misère intellectuelle, l'absurde, du non absurde, de la médiocrité, qui
se placent dans le pouvoir politique, soit de la couleur qu'elle en
soit, pour se justifier d'y être sous le désir explicite, fait du
peuple qui les a élus… charognards !, mais n'oublions pas nous, que
nous tous, sommes coupables que ces sangsues éteignent dans la place de
bourreaux, cause de ne pas réfléchir chacun de soi, en laissant y
faire par nous à nos propres esclavagistes.
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