Une
mère, qui avait par fils toute une diversité, et pour mari un
étalon, à laquelle l'habitude chez elle s'était institutionnalisée
en règle, celle-ci qui l'avait fait devenir la bonne de tous. Cette
bonne qui jour le jour donnait à bouffer au prolifique de premier ;
celui-ci qui depuis de s'être servi à son goût, laissait sur table
tout cela qui ne l'en était, bien qu'en assez de protéines pour
toute sa progéniture.
Cette
mère, amant de ses fils, que non de qui n'aimait que soi-même, elle
avait observé, qu'une fois que l'auto-amoureux avait rempli son
estomac, déjà que cœur il n'avait pas, quand elle appelait ses
fils à table, ils y arrivent, presque toujours il n'avait que
manger.
La mère, en voyant ses fils maigrir de façon fort disproportionnée à la grosseur prise de l'un y parmi, met en garde sur le sujet à cela que les petits tenaient par père, pour qu'il enquête sur ce qu'il était à se passer par là. L'idiot, en regardant du coin de l’œil son portrait de jeune faire et voyant qu'il était la cause, dit à la mère en riant, fier d'avoir parmi l'intelligence un autant sot que lui : ce coquin ! Il en va y arriver très loin… à président au moins ; et vu ses manières, je dirais de la nation.
Proverbe : pas pour être victime, on est innocent de son sort ; un opportun coup de pied dans les couilles et s'est fini l'étalon.
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