jeudi 30 janvier 2014

POSSIBLE FUTUR PRÉSIDENT

    Une mère, qui avait par fils toute une diversité, et pour mari un étalon, à laquelle l'habitude chez elle s'était institutionnalisée en règle, celle-ci qui l'avait fait devenir la bonne de tous. Cette bonne qui jour le jour donnait à bouffer au prolifique de premier ; celui-ci qui depuis de s'être servi à son goût, laissait sur table tout cela qui ne l'en était, bien qu'en assez de protéines pour toute sa progéniture.
 
   
    Cette mère, amant de ses fils, que non de qui n'aimait que soi-même, elle avait observé, qu'une fois que l'auto-amoureux avait rempli son estomac, déjà que cœur il n'avait pas, quand elle appelait ses fils à table, ils y arrivent, presque toujours il n'avait que manger.
 
   
    La mère, en voyant ses fils maigrir de façon fort disproportionnée à la grosseur prise de l'un y parmi, met en garde sur le sujet à cela que les petits tenaient par père, pour qu'il enquête sur ce qu'il était à se passer par là. L'idiot, en regardant du coin de l’œil son portrait de jeune faire et voyant qu'il était la cause, dit à la mère en riant, fier d'avoir parmi l'intelligence un autant sot que lui : ce coquin ! Il en va y arriver très loin… à président au moins ; et vu ses manières, je dirais de la nation.
    Proverbe : pas pour être victime, on est innocent de son sort ; un opportun coup de pied dans les couilles et s'est fini l'étalon.

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