Nous vivons une époque, dont on souhaite transformer sa demeure en un lieu autant aseptique comme dépourvu de vie autre que la sienne : y dans laquelle manque de place ni même pour nos anciennes colocataires de toujours, tels que cafards, souris, gosses, ni même puces pour beaucoup que l'on importe chez-lui un chien ou un chat (ou chatte) puisqu'ils seront aussi aseptiques que les maisons ; malgré tout qui n'en aient pas, au moins qu'il soit un de tous ces deux (ou trois) comme compagnie, on aura avec qui escrimer quelques mots quand même.
C'est à cause de la solitude « l'implacable » que l'homme moderne s'est fait un bavard incontestable même qu'on ne l'en ait pas été auparavant ; puisqu'on a vaincu, si c'est-ce que de cela s'agitait, la timidité à l'en faire à un appareil électronique, dont s'en livrant aux plus aventureuses aventures sexuelles (quelques avantages ces trucs-ci avaient d'avoir) mais si d'un côté on se livre des caprices des femmes, un aussi enfermement en soi, tout cela fait à l'homme moderne oublier qu'il est un animal social ; quelque chose en autre inhérent à tous les animaux.
En géométrie, et vu tellement se peut apercevoir en l’avenir des circonstances, nous deviendrons, à court terme, s'il n'est-ce que nous ne sommes pas déjà devenus des hommes-machine, ce qui n'est que notre nonchalance, à cause, que de ceux-là sort tout type d'avorton, qui se feront si faciles de manier qu'il n'a pas besoin trop d'intelligence pour y faire ; de là que même un autre engendre tel que le tracteur-merkel, robuste machine celle-ci, il faut le reconnaître malgré le malheureux erreur de la faire passer par une femme, qui peut absolument en faire.
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