L'un
de ces froids jours qui a l'habitude de nous offrir l'hiver, dont
Gaston à autre chose mieux à faire s'est laissé tomber dans les
fils de la nonchalance, ceux-là maillés donnant forme à un hamac,
qui bien pourrait être aussi un filet à poissons ; donc lui tel que
s'il fût l'un de ces vertébrés qui peuvent vivre dans l'eau (ce
qu'il ne pourrait nullement faire, ni même la boire !), il s'est laissé attraper là.
Entrant chez ce triton son amie, la gentille Cécile, écologiste impénitente, déguisée de gracieuse pêcheuse ou quelque chose comme ça, gentiment, comme ne pouvait pas être d'autres manières, fait-elle y sortir l'heureux assoupi l'en faisant devenir un malheureux excité, pour l'amener à la campagne, dont tous les deux ont dû faire gymkhana parmi bouses et d'autres chiottes mineures, aussi comme à esquiver les déposantes de celles-là.
Gaston épuisé de la frénétique frénésie de Cécile, en voyant un paysan d'apparente lucide calme assis sur un mur, il fait autant pas loin de lui. Cécile y arrive donnant tout d'elle. Gaston lui fait une grimace en vue qu'elle prête attention ; l'homme était en train de causer avec le vent, tout semblait, le lui disant : je voudrais être une pomme, pour m'offrir à ses lèvres, afin de rafraîchir son être, pour me mettre dans son corps, la parfumer de moi… pour me parfumer moi d'elle… quel romantique ! Crie presque Cécile.— Mais non ! lui dit Gaston, il ne s'agit pas de sentir ses mots sinon son haleine, il est soupé perdu. Donc l'homme tombe par terre de l'autre côté du mur, d'où l'on s'écoute le final de l'acte dont seulement s’écoutait de la musique.
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