Dans un
portique, dont les nécessiteux mendiants de la fumée
aspirent des cigarettes, s’en vengeant de la prohibition dictée à
l'intérieur de l'hôpital, s'approche un vieil sage, accompagné
d'une cohorte de familiers, des traites qui s'étaient servies d'arguties aussi mensongères que persuasives à le convaincre qu'il y vînt.
Une
fois-là, s'en résistant le combattant ; comme un tel, passer le seuil
de l'établissement, le plus jeune du chœur, un vif gars, dit au
révolté, le chuchotant dans son oreille, d'en aller à une
cafétéria qu'il y a là-dedans (et vu que la chose promet, je
m’incorpore à la procession) une fois dans la cafétéria (cela
qui n'importe qui, normal, traduit par un bar) à notre héros on le
porte atteinte à sa réputation, un serveur qui s'occupe sa commande
dont un cognac, il lui offre comme plus, un vin ou une bière tous
ces deux liquides à boire sans alcool. Le vieil sage après de
passer par un état de stupéfaction, monte-t-il en colère de telle façon (raison ne l'en a fauté) qu'il a fallu appeler une
infirmière, celle-ci qui aimablement propose à l’altéré une piqûre
pour le calmer. Donc un tonnerre éclate ; rien comparable à ce que
s'il sût qu'il était là pour qu'on le fouillât dans ses tripes,
ça que pourrait bien avoir devenu une grosse carnage.
En
sortant de l'hôpital l’héroïque révolté, guerrier
incommensurable, suivie d'une troupe vaincue sans avoir combattu,
marmottait-il -une piqûre de rien. En criant à la suite — et une merde ! Pour suivre son monologue grondant — canailles ! dégénérés.
Ce qu'ils voulaient n'est que me mettre à nouveau un pourri doigt
dans le cul.
Le
jeune homme qui formait parti de la troupe, petit enfant du
prostatique, avait toutes les allures d'être fier de l'en être.
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