mardi 24 décembre 2013

DANTE ET LE RIDEAU DE FER

    Ce qui autrefois avait été un tout sérieux rideau de fer ; duquel que si l'en exprimant remplisse l'encrier de Dante à son époque, ou pourquoi pas en y vivant dans celle-ci, quand la machine, qui le faisait monter ou descendre selon les événements se présentaient, il marchait comme il faut. À cette époque-là dont il était digne pour que l'illustre poète, aux trois actes de son chef-d’œuvre, ajoutât un quatrième : « Le Rideau De Fer ».
 

  
Le temps, bête inexorable, a fait changer l'avenir des choses, au se faire rouiller l'imposant rideau, duquel n'y reste maintenant que quelques fils de fer pourris. Quelque chose qui ne fait agir l'intérêt que pour quelques-uns écrivains de « best-sellers ».
 

  
Car, les scènes, qui se jouent de l'un de l'autre côté, n'en prennent ni de la dignité pour un « opéra bouffe ». Du côté de là, au moins, le hasard a fait que l’occasion fût propice au sauvetage d'un révolté. Après ça, ils n'ont fait que peu plus que donner de boire aux fraudeurs. De ce côté-ci, dont on se vante d'être quelque chose qui se l'en est donné en appelant démocratie, on se flatte aux gros fraudeurs, en attendant qu'ils soient ceux qui invitent à boire.

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