Dans
le généreux monde par où papillonnons-nous, ingrats fils ou
semence ingrate, aveugles plutôt que de l'avoir été de naissance parce
que nous n'avons jamais voulu voir. Cette nonchalance qui a provoqué
en nous, pas seulement la perte du sens de la vue, sinon que celui du
bon sens de la perception, du goût au vin même.
Dans
cet appauvrissement général, nous avons mis à arracher de bonnes plantes ; ordonnant la brousse de manière que
nous eussions fabriqué un absurde labyrinthe, celui-ci qui a cru de façon tellement disproportionnée que nous l'avons fermé
en soi, jusqu’à la porte aux cieux. De cette brousse dont
maintenant les ronces qui prolifèrent parmi, pincent sur nous, dont la
vigne n'y prolifère point.
Aujourd'hui,
quelques-uns disent voir de l'espoir, compte tenu, selon eux, que la
vieillesse de la brousse qui constitue le labyrinthe, dont sa
grandeur, d'où le besoin de l'eau (celle-ci qui ne sera pas assez) à la
soutenir, l'en fera sécher ; et voilà donc, toujours selon eux, le
jour que sera de notre libération. Malheureux buveurs des distillés
de mauvaises herbes. Ce jour-là, nous serons perdus dans
l'implacable désert, sans eau, et ce qui est pire, sans le vin, avec qui
nous soigner de la piètre vie.
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