Le
tout qui est à notre perception, n'est que tout de même à différentes densités. Soit, que si bien que, pour nous, nous enfoncer dans
la terre, préalablement, il faut la creuser, il est, pourtant, plus
facile à notre molle structure se plonger dans les eaux. L'espace gazeux, tel que notre atmosphère, ce qui est pour nous le moyen
naturel où nous agissons ; aussi comme les solides compacts, à plus que
l'en soient, deviendront plus impénétrables à nous fragiles corps.
Alors !
Si tout l'univers devient d'une seule constitution uniforme, toutefois qu'il, uniformément, ait une expansion absolue par l'espace, supposant simultanément manque de troubles par là, du même
que si ce tout se rejoint en un noyau, celui-ci n'a rien faire
dans l'espace absolu, il ne se pourrait pas formaliser comme tel,
sans la disparition de l'espace même.
Évidemment, nous, qui en ayant toujours été humblement savants
de notre infinie ignorance, pour nous faire prétentieux savants,
avons-nous tous seuls, tout tellement embrouillé, fait science la
foi, pour tout se simplifier à comprendre, avec l'incompréhensible
invention de dieu.
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