mardi 16 juillet 2013

UN CLIENT INDIGNÉ

    Ce qui semblait un amical échange de mots entre le patron du bar et un habituel, s'est tourné soudainement en une étrange action du plus violent, du côté du client, dont celui-ci qui fut tellement méprisé, outragé, dénigré, il s'est transformé en quelque chose tel qu'un tigre enragé. Donc, il crache tout type des plus recherchées aspérités. Pour à la fin, avant de s'en aller, furieux, faire rugir le sentir d'un mortel :
 
   
    Si dieu te fait bien marcher les affaires, dis-le-toi, qu'il vienne te boire tes potions ; cet abstème emmerdeur.
 
    
    Le patron, ses yeux hors d’orbite, ne donnait aucun crédit à ce débordement de la situation, comme non plus aux pacifiés, lesquels y étaient, aux potions de l'alchimiste, à ce moment-là qui tout cela s'est passé. Ce tout qui s'est fait compréhensible, à la suite que le stupéfait patron, ouvrant ses bras, exprime, à sa demande de comment marchent les choses ici, en ce qu'au bar concerne, je lui dis « bien, grâce à dieu ».

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