Dans les eaux d'un fleuve, lesquelles coulent (parfois tranquilles, parfois révoltées, quand non tumultueuses) personne ne leur va donner un coup, sans penser que l'on n'y va pas tirer profit, même que cela se cache dans l'inconscient. Pourtant, soit par hasard, le plus probable, soit d'un bon coup, si l'acteur tue un poisson ; il faudra que le tueur se jette dans les eaux pour prendre le cadavre, ou au moins se rapprocher à la rive pour l'en faire, s'en servant, le prétendu pêcheur, de n'importe quel truc ; à ne pas être qu'il soit un « nécro-poissonnier-voyou ».
Donc,
et il ne s'agit pas que le fleuve défende leurs locataires, pour ce que
les eaux soient dangereuses, comme l'en sont les cieux pour
défendre les siens.
Il
s'agit plutôt, que nous, insatiables égoïstes, n'ayant pas assez avec
la terre, notre moyen naturel, avons tout fait pour conquérir eaux et cieux, pour depuis d'avoir tout conquis, à faute d'autre, nous avons
inventé dieu pour avoir quelque chose à conquérir, puis l'en
faire entre nous-mêmes, ne laisse pas d'être quelque chose accablant,
en étant chacun de nous un Alexandre plus ou moins grand, si
incontinent, conquérant, qu'un prostatique l'en est de l'écoulement
de l'urine.
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