samedi 20 octobre 2012

ÊTRE POUR NE PAS ÊTRE

    Constance, quand elle était une toute belle petite enfant, faisait des choses comme chevaucher montée sur les épaules de son père, faisant la môme du cou du tolérant celle d'un cheval, simultanément que de sa tête la belle en faisait une table, dont la tolérée mangeait un poulet rôti.

  Alors qu'elle laisse un âge pour entrer en un autre ; de, en fillette : Constance, celle-ci faisait tout de soi à être ce qu'elle n'en était, fêtant ses progéniteurs de sa démarche, en croyant, ils, que le fruit tiré des chaleurs d'une soirée, froide, d'hiver, était unique en son genre.

   Grandie Constance, qui sans avoir arrivé, en fille, qu'à être ce qu'elle ne voulait, dans l'éventail de manières de ne rien faire, la constante Constance s'est décidée d'être bobo… Ce qu'elle a été, même sans savoir ce que cela était, la seule chose compréhensible que personne n'aurait pu comprendre qu'elle ne comprit pas, c'est pour cela qu'elle, peut-être, était à l'aise en étant par là où elle sentait ne pas être telle que les communs des mortels. Elle y nageait en sauce de son goût. S'en passant tout bien pour Constance, jusqu'à la subvention à son exercice, en forme d'héritage fut épuisé, cela qui se passe souvent, malheureusement pour les usagers de « la dolce far niente » dont le temps qui tout met à sa place, il n'a pas fait de Constance exception, et avant de l'en faire cadavre l'en a mis à l'âge, dont elle ne pourra de tant faire pour non-être : qu'être.

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