L'homme se tient à la Terre à l’égal qu'un morpion l'en fait d'un poil de la couille d'un barde.
L'homme aime voyager d'un lieu à un autre, de la Terre, à l’égal qu'un morpion, celui-ci l'en faisant, de poil en poil, dans le même inquiet espace, jusqu'à ceci s'en aille essuyer dans n'importe quel paillasson, dont le morpion changera des sinueuses courbatures par où branchait de poil en poil, par le doux val, dont il fera autant du même. Donc, dans différentes tignasses, différant, mais en essence sinon connu, presque quand même, jusqu'à nouveau son entourage, accepte un rendez-vous avec un autre monde, pour faire un autre voyage, qui pour lui serait interplanétaire.
L'homme rêve, lui aussi de faire des voyages interplanétaires, dans son cas peut-être, pour échapper à l'ignorance que nous avons de notre monde, pauvres agneaux ! En supposant que cela arrivât, l'insignifiant, à notre avis, morpion aura sur nous toujours avantage : son monde est l'homme, l'humanité son univers.
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