dimanche 28 octobre 2012

BANALISER LES UNS EMMERDE TOUS

    La banalisation faite du mot « démocratie », en mettant l'essence de son fond, dans le sordide marché de la médiocrité, provoque que nous discréditons subjectivement la susdite Démocratie, cela qui nous prédispose absolument à ni aimer ni vouloir rien faire pour nous immerger dans les eaux tranquilles, limpides et peu profondes, du lac de l'objectivité ; celui-ci cerné, dès une époque perdue dans la nuit des temps, avec la broussaille de l'ignorance, semé par les marchants de l'empire de la « sacro-sainte sans raison », celle-ci que leurs cultivateurs ont renforcé, si cela n'était pas assez, par une garde composée de mendiants de hauteur sans scrupules, lesquels se sont allés succédant jusqu'aux temps modernes, dont ils nous sont présentés déguisés en politiciens, démocrates même s'il l'en faut.

     Les personnes, qui façonnent citoyenneté, « marchandise » par ces marchants-là qui n'arrivent à assimiler chose d'autre, laquelle ne dérive qu'à être affaire, en étant prises d'une obstruction intellectuelle incompréhensible à nous-mêmes, tout est fait pour nous soutenir à flotte sur une orageuse mer, dont la profondeur ne laisse voir que ténèbres qui n'existent pas, puisqu'elles sont uniquement la distance qu'il y a de la surface au fond.    

     Il nous fera nous soigner des blessures de l'ignorance, pas dans l'oublie, sinon avec les oubliés, surtout des devanciers maîtres de notre sanglante époque, de longs parcours, trop long, qui poursuit avec toute force, ménagée de guerres au nom des dieux impitoyables, imaginaires, d'importation, desquels les satrapes se servent pour interférer entre nous et la Liberté.

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