... Les puissants s'en sont faits, quand non faisant eux-mêmes des
tricheries, en profitant de celles-là de ses ancêtres reçues en héritage ; des guerres, somme toute, avec le concours des gents
soumises tires du peuple. Tout ça, selon ceux-là, sous la bénédiction de leurs déesses
et leurs dieux de toujours.
Descends la marée.
... Le temps passant, les puissants ont mis leurs déesses et leurs dieux aux oubliettes en mettant à leur place un dieu étrangère : mâle, lui, tout-puissant et impitoyable comme il faut ; ce qui simplifiait
les formalités avec. Le voilà le début de la mondialisation, dont
les crétins serviles se croient l'avoir découvert récemment. Au
four et à mesure que le temps des changes coulait, les peuples, bien
que mal, s'en allaient, émancipant de l’impitoyable et ses seigneurs
que sont à peine les siens, pour se gouverner eux-mêmes, jusqu'à, toutefois, une nouvelle caste dominante a poussé chez eux.
Monte la marée…
... C’est le peuple qui, endormi dans le lit de l'ignorance, ignore les sages, qui en étant, eux aussi, peuple, comme tel, se comportent ; pour le dire de quelques façons : sans apparat. De ce peuple, dont la populace fabrique et aménage, des notables médiocres, pour le donner sens à leur médiocrité.
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