La joie atterrit chez nous, gracieusement, tellement qu'elle fût un léger
aéroplane aux fragiles os voilés en soie, pour décoller si bruyamment
qu'un lourd avion/charge.
Nous, Icares prisonniers des nuages depuis où nos yeux n'apprécient point ce qui se passe sur Terre, sommes là-haut à l'attente de l'arrivée et le départ, plutôt la voir passer, de la joie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire