Lorsque l'amoureux a appris, de ses belles lèvres, de son amoureuse, qu'elle le quitte, des siens, pas aussi superbes, il le dit d'un ton sentencieux : si tu n’étais pas mienne, tu ne serais de personne !!!
L'amoureuse, si jamais l'en a été touchée de cet orgueil bizarre féminin, répond à l’amoureux le demandant : tu serais capable de me tuer par amour ?, mais non, dit le faux prétendu assassin, je ne tuerais jamais personne. En le concernant à toi : tu es aussi maîtresse de me quitter comme je l'en suis de partir là où l'on ne se retrouvera jamais. Cœur qui ne voit ne sent pas.
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