mardi 15 novembre 2016

L'ENTÊTÉE ET L'AMOUREUX

    Lorsque l'amoureux a appris, de ses belles lèvres, de son amoureuse, qu'elle le quitte, des siens, pas aussi superbes, il le dit d'un ton sentencieux : si tu n’étais pas mienne, tu ne serais de personne !!!


   L'amoureuse, si jamais l'en a été touchée de cet orgueil bizarre féminin, répond à l’amoureux le demandant : tu serais capable de me tuer par amour ?, mais non, dit le faux prétendu assassin, je ne tuerais jamais personne. En le concernant à toi : tu es aussi maîtresse de me quitter comme je l'en suis de partir là où l'on ne se retrouvera jamais. Cœur qui ne voit ne sent pas.


     Donc, elle ne
dit rien, elle réfléchit… ? Après, elle tire : ne te crois que si facilement, tu vas m’esquiver, j'irai même à l’enfer s'il en faut. Je te trouverai, que sinon pour amour, pour que tu ne t'affranchisses pas de moi.

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