De tous les courants que l'homme a dû sauver dans son existence
durant, c'est celle-là de l'ambition, maîtresse d'une contre-nature
irréfrénable sortie d'où qui le sait, qui a englouti l'homme, l'en
libérant dans un tel état d'ignorance sur son propre environnement,
que le pauvre au ne pas savoir qu'y faire s'est monté sur un socle
pour se faire dieu.
En tant que dieu, et vu de l'ennuyeux qu'il était là-haut placé,
il s'est fait substituer par une statue. L'homme est un danseur
incontournable.
Là-bas, le touché de l'ignorance, soit l'homme (ou la femme ; elles
sont aussi nageuses que leurs partenaires) où celle-là n'aussi persiste, sinon qu'elle se voit agrandir, au lieu de danser
avec ses congénères, ou pourquoi pas les animaux autres, il, ou
elle, fait tout pour maltraiter les siens aussi comme anéantir les
autres…
Nous sommes de cette façon… pauvres ! ... mais surtout pauvres les
animaux autres, qui en autre n'ont pas fait mal à personne.
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