Les humains, nous sommes, le voulons ou pas, des animaux de troupeau, et en
l'étant ; dû la façon dont nous fait agir le muscle qui se place
dans notre crâne, nous sommes, nous le désirons ou pas, des animaux politiques.
Que n'importe quel troupeau, parmi les nôtres ou tout l'ensemble même, soit frappante, voire stupide, malveillante, décadente ; autant aujourd'hui qu'on l'en a toujours été après chaque élan progressiste… servez-vous à adjectiver à plaisir jusqu'à que vous, vous aviez bien soulagé. Donc, on poursuit : il faut ne pas faire coupables de tant d'adjectivations les politiciens, auxquels par action ou par omission nous avons tout laissé faire pour défaire, mais vous ne vous affligiez pas, ces éminents stupides, un beau jour (magnifique, j'en dirais) quand ils penchent un nœud coulant à nous, pour nous dire comme y faire, ils se pendront eux tous seuls.
Si bien cela ne va rien changer notre dérive ; la stupidité humaine
est si forte que bientôt nous va indéniablement soumettre à elle à
nouveau, net empirisme, mais en voyant les maîtres pendus, rire,
rirons quand même.
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