Chez les humains la pensée devient, en ce qu'à l'homme concerne, ou bien objective ou bien
subjective, dont si l'on est objectif peut bien constater que c'est le
subjectivisme qui domine.
Cette façon d'y faire a fait que l'homme, au fur et à mesure d'en aller prenant conscience de l'incommensurable immensité de l'espace, il s'est venu croyant, de plus en plus, plus puisant : soit dieu.
Trop de dieux pour un marché aussi restrictif que sollicité.
Pourtant, la femme, plutôt créatrice que créative, a toujours été conscient d'un espace lequel domine jusqu'à elle a quitté ses vertus pour prendre les défauts de l'homme… ?
Plus dieux à concourir !
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