Mon ami avait un chien, pas trop gros, plutôt petit, auquel les sans esprit du quartier qui passaient devant chez-lui ils faisaient tout ce qu'ils savaient, et tout cela qu'ils n'en savaient l'inventaient, pour le taquiner, auxquels le chien de mon ami, plus pour intelligent que pour petit ne faisait pas attention ni d'eux ni de leurs conneries.
Tenant le chien de mon ami, dans les fêtes de la ville durant, d'hôte son meilleur ami, les casse-pieds suivaient à pratiquer des manières gênantes. Un jour que le meilleur ami du chien de mon ami, fâché, s'est mis prêt à s'y affronter, ce que le chien qui ne voulait pas envenimer le séjour de son meilleur ami l'avait empêché.
Un après-midi dont le petit chien de mon ami et son mieux ami siestaient, les infatigables casse-pieds qui ne voyaient, ni jamais avaient vu le mieux ami du chien de mon ami, en voyant tout seul le petit, l'un y parmi, avec acquiescement des autres, en prétendant d'un coup de pied le lui casser la couillonnade, les rires de tous eux ont fait se réveiller le mieux ami du chien de mon ami, qui était en train de faire autant que lui ; lequel était un énoooorme crocodile, qui fâché vraiment cette fois d'une mauvaise se réveiller, les mange les jambes, les mange les bras et ne les mange pas la couillonnade parce qu'ils ne l'en avaient, comme non plus la tête parce que n'y avait non plus rien à manger. Il, le meilleur ami du chien de mon ami, les laisse le tronc pour que leurs estomacs souffrissent.
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