Depuis il y a
longtemps, les loups couraient derrière leurs proies et avant les
hommes, qui étaient leurs chasseurs, pour qu'ils ne chassassent les
gibiers que les hommes prétendaient siens.
Aujourd'hui, les loups ont perdu la peur aux hommes, pourtant, ils poursuivent à courir derrière le peu de gibiers qui restent à eux, mais devant l'épouvantable que servile tête-locomotrice ; servile, bien entendu, aux intérêts qui ne sont pas aux de son voisinage, ni évidemment non plus aux loups, lesquels sont voisins eux aussi.
Tous nous avons parié,
le sort en est jeté, donc nous ne pouvons pas chercher coupables
ailleurs… pauvres loups, pauvres nous, pauvre Europe… quelle horreur !
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