Nous les humains,
aveuglés par l'atteint de la grandeur, dans le tout, par là, où
n'importe quelle galaxie n'est qu'une éphémère voyageuse. Nous qui
ni sommes tout un ensemble, ni un grain dans le cul (bien que gênant
même n'en arrivant à l'être) dans une insignifiante particule, de
parmi toutes ces errantes, de l'une toute petite.
Nous les humains, irréfléchis adorateurs de l'inconnu, maniés par les inventeurs de l'âme, l'en utilisant de passeport à l'éternité… à la gloire ! (à la sienne) de cela qu'ils profitent, pour bien vivre* avant de leur trépas au néant durant, faisant métier de guichetiers du faux. *Personne doit s'étonner qu'ils se résistent à s'en aller chez leur chef.
À nous les humains, notre manie d'en aller poursuivre la grandeur ailleurs, nous a fait perdre la conscience que la grandeur est la vie ; la vie est le tout à nous, avec tout cela qu'elle entraîne, puisque toute forme de vie y constitue part. La grandeur, la nôtre, va minant la vie autre que la nôtre, en conséquence, la nôtre même.
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