La vie toute, dont les animaux, y compris parmi les mammifères lesquels nous sommes qui, le plus directement, ne l'en commençons que comme parasites.
Dans ces parasites, dont les mammifères sont lesquels nous concernent, la vie commence à se développer au-dedans de la mère, à elle attachés du nombril pour à travers d'elle sucer, de sa vie, à la sienne ceux-là, pendant, ils sont en état larvaire, jusqu'à on est devenu nouveau-né ; donc, à partir que celui-là devient parasite externe, cette fois attache aux seins de sa nourrice le nourrisson, sera difficilement décollé des tendres chairs ; ce qui est plus que compréhensible. Après le parasite se laisse commodément nourrir, jusqu'à la mère doit amoureusement se défaire de l'égoïste amour filial. Ce que dans les humains devient au jour le jour si plus tardif qu'il semble que les fils prétendent faire que leurs mères passent directement de mères à mères, délaissant de côté le transit en tant qu’aïeules.
Soit, au moins les humains (je n'ai pas pu enquêter mammifères d'autres de peur qu'ils se moquent de moi, de nos habitudes, en tirant n'importe quel la contre-enquête à laquelle il aurait le droit), nous faisons de notre nombril le centre de l'univers ; nous l'y sommes chacun, et rien n'importe qui ne soit le fils, que l'on prétend qu'il soit l'image à lui succéder ; mais attention ! toujours que l’héritier de cette image ne soit point intéressé à la succession… les humains aimons "le moi" comme il est l'amour : « éternel ». Bien que si chez l'amour, l'amour dure, ce qui dure, dure, chez le moi, le moi persiste, de même que l'on arrive à se pourrir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire