Il
y a eu quelque chose qui a
laissé
telle
empreinte en moi, dès la première fois que je l'ai écouté, celle-là qui
ne m'a jamais quitté : ce qui n'est qu'un vieil proverbe chinois, que par sage et par
vieux, il ne peut pas être autrement et s'il n'est pas chinois, ni le proverbe, ni le « proverbieur » à qui j'en aime de tout cœur quand même, même que ce dernier en un moment de mauvaise sobriété, il en ait nuancé, ce proverbial chef-d’œuvre, de façon si modérée que condescendante, en ajoutant : même qu'elle soit « l'ivresse- éventuelle ».
Ah ! Pardonnez-moi je vous en prie, la passion de tant amour, en m'aveuglant, m'a fait oublier de dire, ce que le proverbe dit ; le voilà : « il n'y d'homme, ni de femme, qui dans la cour de l'ivresse ne boit pas du vin ».
Cette
cour, on
se suppose,
qui n'est autre que la belle enlevée par le petit fils de Gaïa : Europe nommée, sur
celle-ci
que
l'aïeule
du
ravisseur a
fait pousser telle
variété de
vignes,
qu'un
dieu, comme il faut (par cette belle, il y a dieux par tout) a dû se dédier à temps complet pour élaborer les élixirs de
leurs grappes
obtenus. Qui sont donc
ces dieux impitoyables d'importation, qui seulement se tiennent en qu'ils soient adorés « politiciens qu'ils sont ! » pour
qu'ils prétendissent
nous
mesurer les boisons des nôtres, quand non nous les interdire ? Buvez-vous braves fils d'Europe. même qu'il soit avec modération.
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