Il
était l'un de ces jours froids d'hiver, humides, venteux, dont les
gens se plaignent de tout ça, pas sans laisser d'y faire coupables
aux politiciens (et elles ont raison) auxquels pourtant les mêmes
gens les font des sourires quand quelqu'un passe y attendant réponse, quelque chose que ces mendiants n'obtiendront pas, soit que
les élus éteint en campagne. Parmi ce monde vit Michel, qui
chez-lui s'était rendu assoupi dans un fauteuil face le feu de la
cheminée, ce qui l'avait fait se transporter à son enfance, avant
que sa famille eût débarqué à Paris.
Michel
rêvait ces temps-là, dans la campagne, dont auxquels avaient abri
au chaud et chaud l’estomac d'avoir bien mangé, ils voyaient le
blanc, comme délaissé par la neige, tout le beau qu'il peut être,
en attendant l'après de sa fondue, la terre juteuse, prête à
multiplier les grains sur elle semés.
Ils étaient sur les paysages de ses songes à point de s'ouvrir les
marguerites, quand soudainement tout se fit obscur, Michel s'était
réveillé en écoutant autour de chez-lui hurler une meute de loups… mais non, c'était sa Marguerite, flétri elle déjà, que
bavardait dans le palier amicalement avec une voisine rien
amicalement de leurs maris respectifs ; merde ! il se dit donc, Michel
lui-même, ils m'en ont quitté les douces songes. Ils ont bien sûr
été épouvantés par ces hurlements lesquels je croyais innocemment
étaient d'une paisible meute de loups.
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