Le
lièvre a de la vitesse en courant pour se défendre et le lévrier
l'en a pour chasser le lièvre.
Pourtant,
le lièvre, s'il est chassé, finira dans l'estomac de quelqu'un qui
ne fait que manger des lièvres, après qu'ils, bien entendu, éteint
cuisinés par quelqu'un autre, qui ne les goûtera que du bout de son
doigt, comme non plus les mangera le chien qui les a chassés, ni le
chasseur que l'a maîtrisé en lévrier.
Je
ne sais pas pourquoi cette mise en scène m'a brouillé la vue, en
lisant des chroniques politiques.
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