Il arrive un moment dans la vie de tout lequel l'en ait promené durant son parcours, dont ce transporteur épuisé, se met-il repousser, assis face la table d'un bar ; ses coudes sur celle-ci appuyés du même que de ses mains croisées l'en fait son menton. Le réfléchissant abandonne ses yeux dans un verre rempli de vin rouge, qui par là semble-t-il aussi abandonné, lequel l'y fait de miroir, tout cet apparat est indispensable pour bien réfléchir, et voilà que c'est donc, que, ce type-ci qui est en scène, en se regardant dans l'improvisé miroir, il se demande lui-même :
Qu'est-ce
que c'est l'amour ? L'amour sans sexe ou le sexe sans amour ?
Analysez vous-mêmes ; parmi tous les autres animaux que nous, les mâles doivent se battre pour accéder aux faveurs de femelle, exception faite, que je sache, des bonobos, qui forniquent au lieu de se cogner, l'une l'autre deux manières de payer ces faveurs-là, donc cette dernière, en plus de plus gratifiante, on poursuivra le but. Alors que, nous, les bipèdes sans plumes, lesquelles peut-être nous les avons perdues, à cause de nous laisser plumer de l'amour dévoué, à une toute seule, quand c'est de la diversité d'où se peut renouveler le plaisir au plaisir.
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