Le pavé gris de la ruelle brillait tellement qu'il voulût faire clair là-haut : l'obscur de la nuit, tandis que dans les bars qu'il y a, à un côté et à un autre d'entre le gris et le noir, les proies se gardent, en attendant les chasseurs qui déambulent dehors, entre la fumée troublée par la lumière qui déprennent les lampes penchées des toits de ces antres.
Là,
où le chasseur entre, doucement, l'un de ses coudes cherchant le
comptoir, de la main du bras qui manœuvre dans l'autre, du courage,
mis dans un verre, pour attaquer la proie qu'en s'apercevant de son entrée, se mettra à exécuter, parcimonieusement, la danse de la
perdrix.
Doucement (il faut être très douce même qu'il résulte trop édulcoré) le
chasseur se met, croyant qu'il est qui prend, dans les griffes de
celle qu'il se croit est gibier… pauvre dragueur ! À cet instant
même Il est prêt à être avalé par l'impitoyable machiavélique
drague.
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