La manie d'arranger la vie d'autrui peut devenir frustrée, comme il est le cas, quand celui-là choisi par n'importe qui de la commune espèce « madame j'ordonne » pour y faire, il a chez-lui invités, auxquels y fout d'abord déménager, quelque chose, peut-être, trop compliquée si les hôtes ne veulent pas quitter son invitant, et surtout si qui les commande s’appelle Poutine.
Sur
ce sujet dont celui qui est maintenant mis à la mode, quelques-uns,
tenus pour experts analystes, ont dit, péjorativement, sur
l'illustre hôte duquel ils considèrent un tirant, qu'il joue avec
son homologue (le grand amiral, pas l'amiral de pédalo comme un
fâché ex-votant à lui l'a titré) à qui l'illustre satrape l'a
appelé son allié (tout cela sans rougir, sans n'avoir pas perdu
contenance, et même il y a eu qui a dit que jusque sans rire dans
sa barbe) au chat et la souris. Plus qu'un bon chat, un bon chat, il
doit l'être.
En Russie, messieurs les experts analystes, depuis longtemps il y a l'habitude de jouer aux échecs, ce qui invite à l’analyse, au calme, soit à réfléchir sur ce qui s'en va faire : en voilà une bonne maîtresse politicienne. Cette fois ils sont déjà gagnants, ou peut-être tous perdants, puis de la côte de la prépotence, la nôtre, ne se fait que dissimuler les bavures qui crachent les incontinentes langues de nos élus, d'autres qu'ils sont capables de faire plus grosses.
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