Il
se peut bien mieux regarder au loin, tournant le dos au soleil, que
l'en faisant face.
Ni
le moindre ni l'excès, si c'est que le moindre existe dans tout
cela qui est excès, d'un exubérant éclat qui ne s'est montré jamais, la chaîne
de travailleurs qui sous pénurie ; puisque pénurie est-ce de bâtir
la somptuosité, travaillant sans pain (le saucisson n'est plus éclatant
que le pain, peut-être pour ça les travailleurs ne l'en ont non
plus).
Pourtant,
en tournant le dos aux éclats, d'abord, il s'éclairera l'espace que l'on aura en face depuis lors, de manière qu'on le pût regarder
en long et en largue tellement il est. En autre, méprisant le
méprisable, jusque de se battre en luttes anodines, celles-ci qui
deviendraient dangereuses, puisqu'il aurait besoin d'utiliser les
armes que les marchands de faux éclats vendraient aux révoltés…
donc, à nouveau, tous lesquels se tiendront en libérés, sans pain
ni saucisson.
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