lundi 19 août 2013

CHACUN DOIT SE CONDUIRE SOI-MÊME

    Au fur et à mesure qu'une machine, adéquate au transport des gens, qu'y a fait de n'importe quel passager, voyageur, qui prend de plus en plus vitesse ; de moins en moins ce voyageur-ci obtiendra netteté du paysage par où l'engin circule ; arrivant le véloce aventurier, depuis que la vitesse se fait considérable, à ne pas apercevoir qu'un tout, estompé.
 

    Toutefois, si la machine, celle-là de qui l'on parle, ne démarre plus, celui qui sera en elle ne sera pas passagère, ni beaucoup moins voyageur ; il ne sera que le centre d'un monde qui bouge, ce qui est aussi chacun y parmi, dont chacun est à son tour le centre. Pourtant, en tant que machine, si elle fait sa tâche, bien qu'elle fût tellement un hippopotame asthmatique, le voyageur, de prompte digère, subira, le plus probablement, de l’indigestion, autant de trop comme de toujours avaler de même.
 

    
Il faudra donc maîtriser la vitesse des susdits engins, chacun, à l'égard du passager qu'il y porte, puisque voyageant en troupeau, sous les canons desquels ne connaissent rien d'eux-mêmes, on ne laissera jamais d'être que ça : troupeau. Chaque estomac a sa façon de digérer ; personne n'est plus, personne n'est moins, nous tous sommes à différentes manières d'en faire… c'est la force de la diversité, n'oublions pas qui nous écarte d'être troupeau.

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